Saint Marcellin / Chatte
- Responsable Communication DG38
- 1 nov.
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Nécrologie Lucien Jacquot

Lucien Jacquot vient de s’éteindre.
Lucien Jacquot naît en mars 1941 à Échavanne (Haute-Saône). Il est le quatrième enfant d’une famille de six. Il commence sa carrière professionnelle en tant que boulanger-pâtissier à l’âge de 14 ans, dans la commune de Belfort.
À 17 ans et demi, il se porte volontaire pour rejoindre l’armée du 8e régiment de chasseurs à pied à Wittlich en Allemagne. Il finit son service en étant caporal-chef, pour ensuite être envoyé à la guerre d’Algérie, où il est libéré de ses fonctions militaires le 14 octobre 1962.
Après la guerre, il devient chauffeur routier. Puis, il commence sa carrière de mineur de fond dans les houillères du bassin lorrain en mars 1963.
Il fait la rencontre d’Isabelle, déjà mère de quatre filles âgées de 3 à 6 ans. Il décide de prendre en charge les besoins de cette famille. Jean-Christophe, son fils, voit le jour en 1969. En 1982, il assume les fonctions de responsable et de chef de quartier dans le bassin lorrain. En 1986, après son divorce, il est muté. Il termine sa carrière en tant que responsable de la sécurité du puits, de la descente du personnel et des matériaux nécessaires à l’exploitation à Gardanne dans les Bouches-du-Rhône. En mars 1992, il prend sa retraite et s’installe à Saint-Jean-de-Moirans.
En 1997, il fait la rencontre de Cathy, veuve, avec ses deux enfants de 1 et 4 ans, divorcée auparavant avec quatre autres enfants. La famille s’installe à Chatte. Ils se marient en 1998. De cette union, naît Olivia en 1999. En 2006, le couple déménage à Saint-Marcellin, dans une maison plus spacieuse pour accueillir la famille.
Lucien Jacquot reste un homme très actif même à la retraite. Voulant toujours aider son prochain, il décide de s’engager dans la vie associative de la Fnaca et du Souvenir français et devient président et président d’honneur. Il restera très impliqué jusqu’à la fin.
Il lutte contre le cancer pendant trois ans. Et il s’éteint. Il est inhumé à Chatte, commune qu’il adorait.





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